Mieux comprendre l’économie collaborative

L’économie collaborative s’installe progressivement auprès des Français, mais ils sont encore trop peu nombreux à ignorer qu’ils en sont les principaux acteurs. Pourtant, 1 Français sur 2 s’est accaparé du concept : que ce soit le covoiturage, la location & la vente de biens ou encore le recours aux circuits courts, les initiatives ne cessent de se développer.

Et parce qu’un visuel parle toujours mieux que des chiffres à la chaîne , voici un contenu plus parlant.




Alors oui, n’en déplaise aux réfractaires ou au moins convaincu, l’économie collaborative occupe désormais une place de choix auprès des français.

Les Français peinent toutefois à assimiler les concepts existant à des sites qui pourtant ne manque pas de notoriété.

Au sein de notre Top 3, on retrouve des initiatives bien connu du grand public :
Partage d’objets, : LeBonCoin, MonExTel, VideDressing.com;
Échange - don - location : Prêtachanger, recupe.net, Freecycle, ZiLok, Placedelaloc
Hébergement chez l’habitant : AirBnB, GuesttoGuest, Couchsurfing

Par ailleurs, la suite du classement vous réserve certainement quelques surprises quant à l’engagement des citoyens :

À la 4ème place : le covoiturage. Pas vraiment une surprise, ce service made in France s’est démocratisé. BlaBlaCar pour ne citer que lui voit même aujourd’hui en grand en s’attaquant à l’international.

À la 5ème place : circuits courts collaboratifs. Bonne surprise : les Amap ou encore les Ruches parviennent à bousculer les codes des acteurs traditionnels. Un moyen idéal pour encourager l’économie locale et favoriser la proximité.

À la 6ème place : auto/vélo partage. Ce service touche de plein fouet les grandes villes françaises. Près d’un tiers des urbains déclarent même le pratiquer une fois par semaine.

À la 7ème place : échange de services et prestations. Le concept est encore peu répandu, mais une vraie demande existe. La confiance est encore un besoin essentiel entre particuliers.

À la 8ème place : location de voitures entre particuliers. Le marché est encore jeune. On dénombre 80% de locataires pour 20% de loueurs.